■ Je m’appelle Alexandre Guérin, père de cinq enfants. Je il y a un mois par hasard que le Père Preynat est revenu sur la région de Lyon, comme avant. □ Il t'a vu. ■ Oui, je Pourquoi cet homme -t-il encore d’enfants?
■ Les samedis après-midi, il m’emmenait dans le local photo de la paroisse. Il me disait: ‘C’est notre secret.’ - Je suis horrifié par ce que vous me . ■ Enfin, moi, ce que j’ c’est une sanction de l’Église à son encontre. - Je être clair avec vous. Le Père Preynat restera toujours prêtre.
■ Vous avez une idée d’autres victimes qui pourraient témoigner? □ Mais je suis sûre qu’il en .
□ Et il y une plainte qui a été déposée contre Preynat. ● Putain, c’est pas vrai. Mais regarde, il encore avec des gosses. Je croyais qu’il était mort. Il va falloir faire quelque chose.
◊ Il réunir d’autres victimes.
○ Et j’attends depuis toujours ce moment... que je puisse enfin tout raconter moi aussi. ■ Et c’est important.
- Est-ce que vous porter plainte contre Bernard Preynat? ■ Oui, je plainte.
- Nous confrontés à des faits anciens et grâce à Dieu, tous ces faits sont prescrits.
Oh! Non!
- Vous compte de la violence de ce que vous venez de dire? Grâce à Dieu... ça dire ‘heureusement’?
◊ Moi, je voudrais vous dire que je ne pas ça contre l’Église, mais pour l’Église.
○ Maman tu là, un jour en sortant du catéchisme, je t’avais dit que Preynat m’avait embrassé?
□ Pourquoi vous n’étiez pas allé voir la police? ○ Peut-être qu’on aurait dû.
□ Ça plus de trente ans, Alexandre. ■ Maman, il d’aujourd’hui. Du Père Preynat qui est toujours en contact avec des enfants. □ Tu toujours été doué pour remuer la merde.
- Tu n’as pas le monopole de la souffrance. Il n’y a pas que toi qui ici. ◊ Ah, la vérité qui enfin. Eh, bien bravo. - La vérité c’est que tu nous avec tes histoires de curé. Les parents ne que de ça, jour et nuit. Tout a toujours tourné autour de toi avec tes putains de problèmes.
○ Moi, j’ai rien construit, hein. Pas de famille, pas de boulot. - Mais, il de faire quelque chose de ta vie... ○ Mais justement c’est ça ma vie! Tu La parole libérée, c’est ça. Tu ne rien en fait, hein.
- Mais pourquoi tu tout ça, papa? ■ Pour que ce que j’ai subi ne se reproduise plus. Et puis, pour vous. S’il vous quelque chose, vous saurez maintenant qu’il ne faut pas avoir peur de parler.