GPS:
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Vous êtes arrivé à
.
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Philippe Abrams:
| Oh mon Dieu! Ça va? Vous n'êtes pas
?
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Antoine Bailleul:
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Bienvenue, Monsieur le Directeur.
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Philippe Abrams:
| Monsieur Bailleul?
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Antoine Bailleul:
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Je vous ai reconnu à votre
qui est 13. Ici c'est 59.
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Je vous ai fait signe d'arrêter votre carette, mais vous (ne) m'avez pas vu.
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Mais ça va, j'ai rien, j'ai rien, j'ai rien.
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Philippe Abrams:
| Votre
.
Vous êtes blessé, là?
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Antoine Bailleul:
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Hein?
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Philippe Abrams:
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Vous avez mal quand vous parlez là, non?
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Antoine Bailleul:
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Quoi?
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Philippe Abrams:
| Votre
ça va, là?
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Antoine Bailleul:
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Non, j'ai rien du tout.
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Philippe Abrams:
| Je vous assure, vous vous
d'une façon très, très particulière.
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Antoine Bailleul:
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Parce que je parle ch'ti? C'est ça?
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Philippe Abrams:
| C'est pas meublé?
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Antoine Bailleul:
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Ah, ben, l'ancien directeur il est parti avec.
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Philippe Abrams:
| Pourquoi il est parti avec les meubles?
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Antoine Bailleul:
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Parce que c'était les siens?
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Philippe Abrams:
| Quels chiens?
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Antoine Bailleul:
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Les meubles.
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Philippe Abrams:
| Pourquoi donner ses meubles à des chiens?
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Antoine Bailleul:
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Mais non les chiens, pas les kiens.
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Il les a pas donné à des kiens ses meubles, il est parti avec.
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Philippe Abrams:
| Mais pourquoi vous dites qu'il les a donnés?
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Antoine Bailleul:
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Mais j'ai jamais dit ça.
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Philippe Abrams:
| Quoi, des chats, vous avez dit des chiens.
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Antoine Bailleul:
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Les siens, à lui.
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Philippe Abrams:
| Ah! Les siens. Pas les chiens, les siens.
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Antoine Bailleul:
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Oui, les siens, c'est ça.
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Philippe Abrams:
| Les chiens, les chats, putain! Mais tout le monde parle comme vous ici?
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